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29 août 2009

Fille perdue, cheveux gras (2)

(suite du texte Fille perdue, cheveux gras) « Maintenant, je suis là, je peux me voir moi-même, Mais quand je suis sous le charme d’ignobles fantasmes de bonheur, La sale magie de cet engin de sorcellerie, je ne peux pas toucher mon moi essentiel. » (4.48...
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23 août 2009

Fille perdue, cheveux gras (1)

"L’Angoisse qui pince la corde ombilicale de la vie." (A. Artaud, Le pèse-nerf) "J’ai envie d’un shoot parce qu’il gomme le problème d’un seul coup." (Christiane.F) Elle tire de son sac une pochette en cuir zippée, surmontée d’une étiquette portant ses...
20 août 2009

Le rêve du train

J'étais dans un train ou une sorte de métro avec des barres métalliques verticales pour se tenir mais organisées en compartiments. Je m'agrippais à l'une des ces barres, très fatiguée et souffrant du froid. Dehors, un paysage hivernal couleur sépia défilait....
15 août 2009

L’amour est mort, vive le cynisme !

« Et Lucie subitement découvre que les mots tendres ne sont qu’un voile trompeur sur le corps bestial de la grossièreté. Et l’univers entier de l’amour s’éboule devant elle et glisse dans la vase du dégoût. » (La plaisanterie, Milan Kundera) - A quand...
8 août 2009

Virginité for sale…

« Je ressentis un vertige identique, à celui que connaît un amoureux quand il découvre qu’aucune chair masculine ne l’a précédé. » (La plaisanterie, Milan Kundera) « Pour allumer un homme, y'a rien de tel que de lui faire croire que t'es une pucelle pas...
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5 août 2009

Une machine à vivre

Nathalie : "C'est chacun sa merde, c'est ça ? Même entre nous ? Hyppo : Un peu Nathalie : Silence. Avec qui on peut être bien alors ? Hyppo : Silence. Personne. On est pas sur terre pour être bien. Nathalie : N'importe quoi. Silence. Si t'as jamais besoin...
2 août 2009

De la bouche et du reste... Et l’homme créa la virginité…

« Ma virginité me pesait comme une meule passée au cou. (…) Je la défendais depuis 5 ans et j’en avais par-dessus la tête. » (La cloche de détresse, Sylvia Plath) Au fur et à mesure que les années avancent et que les robes de l’enfance s’effacent devant...
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